La chirurgie de l’obésité vouée à l’échec sans un traitement des causes psychologiques qui sont à 80%-90% à l’origine de la maladie
Après la chirurgie, le suivi psychologique reste primordial pour éviter une rechute
Paris, 23 mai 2016 – Une prise en charge chirurgicale de l’obésité sévère ou morbide a peu de chances de réussir à moyen et long terme, si les causes psychologiques, qui sont à 80%-90% à l’origine de la maladie, ne sont pas également traitées,